LA REUNION

La Réunion

A / Généralités :

Population : 800000 habitants

Surfaces : 2512 km²

PIB : 15.2 milliard d’Euros

Chômages : 30 % (2012)

Chômages des jeunes : 60 % (2014) – CAIRN info

B / Problématique du territoire : La pauvreté, le niveau scolaire et le chômage :

A la Réunion, 42 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Soit 343 000 personnes d’aprés l’insee, vivent avec moins de 935 € par mois en 2010. Un taux de 44 % (moyenne national 14 %). 150000 foyers et 240000 personnes perçoivent les minimas sociaux. La moitié de la population pauvre de l’île vivent avec moins de 690 € par mois. C’est dire la situation catastrophique. le soleil et la joie de vivre de cette population masquent quelques peu ces réalités, mais la difficultés des personnes est bien réelle dans leurs quotidiens.

Un autre problème est le niveau scolaire et le chômage : 25 % des moins de 24 ans quitte le système scolaire avec un niveau de primaire (14 % en métropole), 12 % des 18-29 ans sont en situation d’illettrisme. De plus, le taux d’emploi des jeunes bacheliers professionnel à moins de 20 % 7 mois après le bac (supérieur à 50 % à Paris). La Réunion compte aujourd’hui, un tiers de jeunes de moins de 20 ans qui se heurtent à une inadéquation à la fois qualitative et quantitative des offres d’emplois. De plus, 36.7 % des jeunes grandissent en ayant aucun parents en emploi. et 20 % des jeunes de 0 à 17 ans ont leurs parents en situation de chômage de longue durée. (4 % en métropole). Et en même temps, il faut souligner que la capacité à mobiliser des ressources éducatives, d’emploi, ou de santé varie considérablement entre les jeunes de la côte urbanisé des bas de l’ile et ceux des secteurs ruraux des hauts.

C’est par le biais de l’évaluation et la mise en place d’un plan de rattrapage sociale et par le biais des mesures communes aux DROM que ces problèmes peuvent être résolus. Voir le chapitre OUTREMER.

Insee.fr : indicateur sociaux :

C / La défense de l’Agriculture :

Le maintient de la filière Cannes à sucre ? :

Le principale enjeux Agricole de l’Ile de la Réunion est le maintient de la filière Cannes à Sucre. Elle représente 12000 emplois directes (6000 agriculteurs) et 20000 emploies indirectes. De plus, au niveau paysages et environnementales, elle est garant du maintient des sols, dans la lutte contre l’érosion de ces territoires pointus montagneux, et aussi en prévention des inondations et ruissellement lors des périodes cycloniques et de l’aménagement des paysages.

Aujourd’hui elle est menacée en raison du risque de la fin des quotas en sucre spéciaux dont elle dépend et la confrontation qui s’en suivra sur les marché internationaux. Le Brésil qui fait la pluie et le beau temps vend son sucre à moitié prix du sucre réunionnais. Le risque est grand ….

Propositions : Garantir les quotas sucrier pour les DROM.

L’autosuffisance en légumes et fruits tropicaux

Un autre enjeux est l’autosuffisance en légumes et fruits tropicaux. Cette objectifs est presque atteint pour certains produits, mais un ensemble de produits sec sont en peine face aux importations, surtout que les autres pays de la zone ne bénéficient pas de notre niveau de protection sociale et donc sont moins chère en main d’oeuvre. 4 produits de grosses consommation sont concernés : l’ail, l’oignon, la pomme de terre et la carotte. Ces légumes demande une protection des marchés pour que les agriculteurs puissent les écouler à un prix leurs permettant une vie décente. En sachant que les consommateurs ont peu à perdre, car la politique commerciale des importateurs est d’acheter au plus bas sur les marchés mondiaux et de se positionner juste au dessous du niveau des prix de vente des produits locaux, contraint eux, par les coût de production locaux, cela pour réaliser le plus de marge possible. Les 0.50 € par kg de plus que paiera le consommateur sera indolore, mais le revenu des agriculteurs lui sera garanti.

PropositionsInstaurer un protectionnisme de la production agricole locale : Droit de douane ou et quotas. Le préalable est de pouvoir intervenir sur les règles des marchés agricole actuellement controlé par Bruxelle.

Exportation des fruits tropicaux :

La Réunion est connu pour ses letchis et ananas victoria ainsi que ses fruits de la passions écoulé sur les marché de l’hexagone. Cependant les capacités et les coût du fret cause problème.

Propositions : Augmenter les capacités de fret. Garantir sur les marchés français l’écoulement des produits domiens. Préalable :  maîtriser les règles du marché agricoles français. Droits de douane sur les concurrents et instaurations de quotas.

D / Grand Chantier : La nouvelle route du littoral : suite liaison st Denis BUTOR et à la Jamaique

Une solution pour augmenter l’ativité d’un territoire est de créer de grand chantier. il y en a un actuellement sur l’île : La Nouvelle Route du Littorale. Cependant cette ouvrage démesuré de par sa technologie (route sur un océan), son financement (supérieur à 1.6 milliards d’Euros), et son ambition (diminuer le risque de mort par éboulis), ne résout pas une plaie du réseau routier actuelle dans l’ile, les embouteillages à l’entrée de la capitale Saint Denis, en raison de sa finition en entonnoir à l’entrée d’une ville. En effet, St Denis à une 4 voies qui lui arrive de l’Ouest, en provenance du sud, le Tampon, et une 4 voies qui lui arrive de l’Est, en provenance de Saint Benoit. Entre les deux, 6 km de villes. Ces embouteillages coûtent chers, en fatigue, en temps, et en coût.

Proposition : Construction d’un nouveau tronçon de viaduc entre l’Ouest et le Nord de Saint Denis.

Entre la sortie ouest de la route du littoral et la 4 voies de la Jamaique à l’Est, pour créer une continuité (4 voies) entre SAINT BENOIT et le TAMPON !

Une continuité pour les entrepreneurs, les transporteurs, ceux qui exploitent les carrières, ceux qui travaillent et auront travaillé sur la NRL, ceux qui travaillent de l’autre côté (travaillant au Port et habitant St Denis ou travaillant à Ste Marie et habitant à St Paul pour exemple), ceux qui cherchent du travail … Pour tous les Réunionnais.

Assurons la continuité du territoire à l’Échelle locale. Une vrai bouffée d’air pour l’économie de la Réunion, comme la route des Tamarins (C’est un projet pluri-mandat, mais nous n’avons pas peur de nous y attaquer pour les Réunionnais).

Engrangeons sur ce prochain grand chantier, porteur d’emplois, voyons loin : sûrement sur des budgets de l’ordre de 500 MILLIONS d’euros (coût au kilomètre de la NRL de 130 millions d’euros pour une distance entre Entrée Ouest de Saint Denis et la Jamaïque de 4 km), avec une technique déjà éprouvé par la NRL elle même, faisabilité technique déjà démontré (car la NRL sera fini à ce moment là et peut être que les compétence seront toujours sur place) et continuité logique du chantier de la NRL.

Proposons au réunionnais de défendre ce prochain grand chantier.

D’autre part :

Assurons à la commune de Saint Denis de notre soutient en lui offrant trois entrées dans ce projet futur et la garantie de ne plus avoir sur son territoire ces interminables embouteillages préjudiciables à tous citoyen, et surtout aux travailleurs des heures de pointes :

L’Entrée Ouest, La Jamaïque et une nouvelle sortie à mi chemin pour Saint Clotilde : pour l’accès au Butor et à L’université (Éducation) et tout la zone de Saint Clotilde, très développé.

E / Les activités humaines en harmonies avec la préservation des milieux naturels aux quotidiens :

Le parc national des hauts, La réserve marine, Les réserves naturels. Autant de sites sous protections nationales pour des enjeux environnementaux, confrontés aux activités humaines.

En effet, l’insularité ou l’isolement de ces territoires, parfois restreints, ont favorisés au file du temps, une flore et faune indigène ou et endémique. Mais ces mêmes territoires, pour les mêmes raisons, ont vue les hommes les investir de toutes parts. Ces derniers se retrouvent partout, et leurs activités à un impact sur les milieux. Souvent leurs présences, est jugés incompatibles avec ces mêmes milieux, par le droit français en matière de protection environnementale.

Mais doit il y avoir combat, ou symbiose ? ou harmonies ?

Les hommes qui vivent dans ces milieux et qui s’en nourrissent (au sens propre comme au figuré) par une activité de cueillette, de chasse, ou lucrative par l’exploitation de ressources naturelles, d’agriculture et autres, se doivent d’être reconnus et respectés, eux et leurs besoins de vivre.

Actuellement, on assiste parfois à un rapport de force sensé faire plié l’un ou l’autre. Il est important que les acteurs officiels nationaux comprennent que l’harmonie est la priorité à rechercher, que les revenus des hommes se doivent d’être maintenus voir amélioré dans ces milieux. la première étape est une étape de pleine acceptation. Passé cette étape cruciale, les acteurs de ces milieux accepterons pleinement de contribuer à la gestion de « leurs » milieux, et « ressources » dans le sens de la durabilité. En effet, pourquoi n’accepteraient-ils pas un mode d’activité et de gestion qui leurs assureraient les mêmes revenus, voir mieux, en préservant leurs ressources et milieux ? Car là est la clé ? le revenu.

Propositions :

Faire évoluer la réglementation vers une tolérance des activités humaines jugés adéquates.

Impliquer les populations dans l’activité de gestion de leurs milieux.

Transformer les formes d’exploitations agressives des ressources de ces milieux en exploitations durable : Ceci est une volonté qui demandera des moyens financiers, humains, ingénieries innovantes … Les défis techniques sont visible. Agriculture biologique, sylviculture sélective, écotourisme …

Insertion de la population locale dans tous les corps de métiers lié à la préservation des milieux. Cela signifie mettre en place des parcours de formation ambitieux, depuis la recherche de financement, les infrastructures, les formations des professeurs et formateurs … Et y être ambitieux, depuis la formation des agents d’entretien des sentiers aux chercheurs en microbiologie …

F / La Gestion du Risque Requin et perspectives :

Il s’agit de sauver l’image de l’île et de l’ensemble de l’économie touristique. Il convient de démontrer notre capacité à gérer les risques, avec succès, dans notre espace insulaire tropicale, afin d’assurer la confiance nécessaire dans les institutions du territoire, à défendre les intérêts de toutes les composantes de la population, sans leurs priver de leurs droits de jouissance du territoire, et ceci dans le respect total de toutes les composantes de l’environnement : La mer, les animaux marins, les poissons, les hommes

Sont concernés : L’image de l’Ile et de l’économie touristique. Les perspectives d’une filière de pêche économiquement rentable. Les enjeux de réussites sportives à travers le développement des sports nautiques.

D’abord des données :

2004 à 2007, 4 attaques. Puis en 2011 attaques en zone balnéaires.

Attaques régulières depuis 1980 mais uniquement dans des zones jugées dangereuses et isolées : une attaque par an en moyenne, 32 en 30 ans. pas d’attaques grave entre 2007 et 2011.

12 requins tués par an à la Réunion de 2011 à 2013. Pas de pêche aux requins entre 2000 et 2011.

La problématique :

C’est le changement brutal de localisation des attaques à partir de 2011 qui est la base de la grande inquiétude Réunionnaise. Les attaques précédentes avaient eu lieu dans des zones sauvages et réputées dangereuses par tous. A partir de 2011, les attaques ont eu lieu au coeur des espaces très populaire partagée en famille. A partir de ce moment là, il est clair pour les usagers de la mer, qu‘il existe un danger grave et persistant.

La question de la continuité des activités habituelles, dans ces zones balnéaires, se posent : les formateurs portent le risque de mise en dangers de leurs élèves. Les prestataires de services touristiques, la mise en danger de leurs clients. A qui la responsabilité en cas d’accident ? L’usagers élèves ou touristes ? Les formateurs et Prestataires de services ? l’Etat ? Il s’agit de vie humaine !

Se pose la nécessité du diagnostique :

  • Soit il y avait toujours eu beaucoup de requins bouledogues, mais ils étaient auparavant très farouches (vu le très faible nombre de signalement durant ces dernières décennies), et leurs comportement auraient donc changé ?
  • Soit la population de ces squales aurait beaucoup augmenté récemment, favorisant les interaction dans ce secteur ?

Information :

Les Requins Bouledogues : ne sont pas des requins pélagiques de plein océan, ils affectionement particulièrement les estuaires et l’eau saûmatre (on les retrouves dans les fleuves notamment, car peut évoluer en eau douce) d’où leurs caractéristiques de requins très côtiers. Leurs vulnérabilités dépends donc entièrement de la zone géographique où ils se trouvent. Pas de données d’évaluation de leurs populations connu aux niveaux mondiales et Régionales. Mais nous savons que les femelles deviennent maturent entre 4 et 6 ans et qu’à partir de là, mettent au monde des portée de 12 bébé requins en moyenne par an.

Les requins tigres, eux, mettent au monde une portée de 40 petits en moyenne tout les deux ans.

Le Tigre et le Bouledogue ne figure pas dans les Annexes de la Convention de Berne, ce qui signifie que ce ne sont pas des espèces menacées. Les requins et squales de la Réunion n’appartiennent pas aux espèces protégés de requins aux niveaux de la classification internationale et nationale.

Au niveau Nationale, la France pêche plus de 30 tonnes de requin par jour, soit l’équivalent de 100 bouledogues de 300 kg. Elle figure dans le top 20 des états pêcheurs de requin dans le monde. D’ailleurs, nous comptabilisons100 millions de requins tués dans le monde par an.

Dans quel contexte sommes nous aujourd’hui ?

Mise en place d’une réserve Marine de 3200 hectares marin, qui englobe une zone très étendue dont une seule partie continue de ………..  est interdite à la pêche.

Ciguatera et Carchatoxines : un seul cas d’intoxication signalés à l’Ile de la Réunion en 1993 de carchatoxine.

Interdiction administrative depuis 1999 de la commercialisation de la chair de requin tigre et bouledogue en raison d’une suspicion de ciguatera.

Le finning (pêche ciblée des squales pour leurs ailerons), interdit depuis 2006  à la Réunion.

Les seychellois consomment des requins pêchers autour de leurs Ile. Pas d’Interdiction de vente.

Que faire ?

pour rétablir la sécurité des usagers, leurs confiance et rassurer l’opinion publiques ? Sans pour autant privé la population réunionnaise de la jouissance de son territoire ?

Propositions :

La Prévention, la protection, la régulation et la chaîne de secours.

L’évaluation des populations côtières de requins.

La prévention, passe par la surveillance de la zone afin d’informer de la présence ou non de danger.

La protection , par la mise hors de portée (mise en place et entretien de filets de protection) et aussi par la mise en place et l’entretien de dispositif de répulsion, et d’action de dissuasions, tels que les vigies requins (créneau de surveillance).

La régulation : Passe par la pêche Préventive ou Curative. Pose et suivi de Drum Lines ou Lignes Flottantes Appâtées qui ont une grandes sélectivités en matière de capture, dans les zones côtières et balnéaires concernées par les activités humaines. Rappel réglementation Union Européenne : cette méthode de capture ne figure pas à l’Annexe IV de la Convention (moyens et méthodes de mises à mort, de capture et d’autres formes d’exploitation interdits).

1 / Evaluer :

  • La population de requin en zone côtière et balnéaire
  • La présence des toxines dans leurs chair

2 / Réguler les populations de requins :

  • Rétablir la pêche : Mise en place de pêche ciblée , dans le temps et géographiquement

3 / Développer une filière professionnelle de pêche et vente de chair de requins :

  • S’ils s’avéraient que les requins ne présentaient pas de risque pour la consommation humaine, pas de ciguatera, il est tout a fait possible, même souhaitable, de mettre en place une filière de pêche de requin. Leurs taux de reproductions élevés et l’arrêt de la pêche depuis les années 2000, nous garantissent un stock économiquement intéressant

F / LA GESTION DU RISQUE REQUIN :

Il s’agit de sauver l’image de l’île et de l’ensemble de l’économie touristique. Pour cela, il convient de démontrer notre capacité à gérer les risques, avec succès, dans notre espace insulaire tropicale, afin d’assurer la confiance nécessaire dans les institutions du territoire, à défendre les intérêts de toutes les composantes de la population, sans leurs priver de leurs droits de jouissance du territoire, et ceci dans le respect total de toutes les composantes de l’environnement : La mer, les animaux marins, les poissons, les hommes

D’abord des données :

Attaques régulières depuis 1980 mais uniquement dans des zones jugées dangereuses et isolées : une attaque par an en moyenne, 32 en 30 ans. pas d’attaques grave entre 2007 et 2011.

12 requins tués par an à la Réunion de 2011 à 2013. Pas de pêche aux requins entre 2000 et 2011.

06 octobre 2004 : Attaque mutilantes Pic du diable : Vincent

27 aout 2006 : Attaques sans gravité le spot des aigrettes : Gérald

20 Aout 2006 : attaques mortelle Pic du diable : Sébastien Edmond

01 avril 2007 : attaques sans gravités Boucan Canot :

Les observations de gros requins bouledogues en augmentation depuis 2006, dans la partie Ouest de l’Ile.

19 février 2011 : attaque mutilante Trois Roches :Eric

15 juin 2011 : attaques mortelle : Eddy AUBERT

06 juillet 2011 : attaques sans gravité, spot des Roches Noires :

1 er aout 2011 : attaque mortelles Seychelles

16 aout 2011 : attaques mortelles Seychelles

16 septembre 2011 : attaque mortelle à Boucan Canot : Mathieu Schiller

05 octobre 2011 : attaque sans gravité à Boucan Canot :

05 mars 20012

Faut il arrêter de se mettre à l’eau ? Ou se résigner à accepter le risque, même aussi fort ?

 La problématique :

C’est le changement brutal de localisation des attaques à partir de 2011 qui est la base de la grande inquiétude Réunionnaise. Les attaques précédentes avaient eu lieu dans des zones sauvages et réputées dangereuses par tous. A partir de 2011, les attaques ont eu lieu au coeur des espaces très populaire partagée en famille. A partir de ce moment là, il est clair pour les usagers de la mer, qu‘il existe un danger grave et persistant.

La question de la continuité des activités habituelles, dans ces zones balnéaires, se posent : les formateurs portent le risque de mise en dangers de leurs élèves. Les prestataires de services touristiques, la mise en danger de leurs clients. A qui la responsabilité en cas d’accident ? L’usagers élèves ou touristes ? Les formateurs et Prestataires de services ? l’Etat ? Il s’agit de vie humaine !

Se pose la nécessité du diagnostique :

  • Soit il y avait toujours eu beaucoup de requins bouledogues, mais ils étaient auparavant très farouches (vu le très faible nombre de signalement durant ces dernières décennies), et leurs comportement auraient donc changé ?
  • Soit la population de ces squales aurait beaucoup augmenté récemment, favorisant les interaction dans ce secteur ?

Il ne s’agit pas de nier la responsabilité des usagers de la mère dans certains cas, mais les raisons des attaques ne peuvent être réduit au seul facteurs usagers-humain.

Mise en place d’une réserve Marine de 3200 hectares marin, qui englobe une zone très étendue dont une seule partie continue de ………..  est interdite à la pêche.

Ciguatera et Carchatoxines : un seul cas d’intoxication signalés à l’Ile de la Réunion en 1993 de carchatoxine.

Interdiction administrative depuis 1999 de la commercialisation de la chair de requin tigre et bouledogue en raison d’une suspicion de ciguatera.

Le finning (pêche ciblée des squales pour leurs ailerons), interdit depuis 2006  à la Réunion.

Les seychellois consomment des requins pêchers autour de l’Ile. Pas d’Interdiction de vente.

Données extérieurs :

6,3 morts par an du au attaques de requins dans le monde. Sur les 14 dernières années, les attaques de requin constituent un des dangers les plus improbables de la planète. Tout sur terre tue plus que les Requins, les noix de coco en passant par les selfies. Pourtant dans des endroits concernés comme la à la Réunion, le risque est significatif et correspond à une réalité. Pour les usagers de la mer.

Les requins et squales de la Réunion n’appartiennent pas aux espèces protégés de requins aux niveaux de la classification internationale et nationale.

Au niveau Nationale, la France pêche plus de 30 tonnes de requin par jour, soit l’équivalent de 100 bouledogues de 300 kg. Elle figure dans le top 20 des états pêcheurs de requin dans le monde.

100 millions de requins tués dans le monde par an.

thèse 1997 et 2007 :

Que faire ?

Que faire ? pour rétablir la sécurité des usagers, leurs confiance et rassurer l’opinion publiques ? Sans pour autant privé la population réunionnaise de la jouissance de son territoire ?

Propositions :

Information : Les Requins Bouledogues : ne sont pas des requins pélagiques de plein océan, ils affectionnement particulièrement les estuaires et l’eau saûmatre (on les retrouves dans les fleuves notamment, car peut évoluer en eau douce) dou leurs caractéristiques de requins très côtiers. Leurs vulnérabilités dépends donc entièrement de la zone géographique où ils se trouvent. Pas de données d’évaluation de leurs populations connu aux niveaux mondiales et Régionales. Le Tigre et le Bouledogue ne figure pas dans les Annexes de la Convention de Berne.

La Prévention, la protection, et la chaîne de secours. L’évalution et la gestion des populations côtières de requins.

La prévention, passe par la surveillance de la zone afin d’informer de la présence ou non de danger.

La protection , par la mise hors de portée (mise en place et entretien de filets de protection) et aussi par la mise en place et l’entretien de dispositif de répulsion, et d’action de dissuassions, tels que les vigies requins (créneau de surveillance).

1 / Evaluer :

  • La population de requin en zone côtière et balnéaire
  • La présence des toxines dans leurs chair

2 / Rétablir la pêche :

Préventive ou Curative

Pose et suivi de Drum Lines ou Lignes Flottantes Appatées qui ont une grandes sélectivités en matière de capture, dans les zones côtières et balnéaires concernées par les activités humaines. Rappel règlementation Union Européenne : cette méthode de capture ne figure pas à l’Annexe IV de la Convention (moyens et méthodes de mises à mort, de capture et d’autres formes d’exploitation interdits).

Mise en place de pêche ciblée , dans le temps et géographiquement

2 /

 

Propositions :

Faire évoluer la réglementation vers une tolérance des activités humaines jugés adéquates.

Impliquer les populations dans l’activité de gestion de leurs milieux.

Transformer les formes d’exploitations agressives des ressources de ces milieux en exploitations durable : Ceci est une volonté qui demandera des moyens financiers, humains, ingénieries innovantes … Les défis techniques sont visible. Agriculture biologique, sylviculture sélective, écotourisme …

Insertion de la population locale dans tous les corps de métiers lié à la préservation des milieux. Cela signifie mettre en place des parcours de formation ambitieux, depuis la recherche de financement, les infrastructures, les formations des professeurs et formateurs … Et y être ambitieux, depuis la formation des agents d’entretien des sentiers aux chercheurs en microbiologie …

Datee : Avril 2019 – réactualisation 2021 à venir