PIB francais : 2846 Milliards; 2060 Milliards d’euros
PIB Francais en PPA : 2580 Milliards
PIB par habitant en PPA : 35896 Euros
Mon parcours :
- Avant 40 ans, aucune action politique
- 40 ans, rencontre de Philippe H, devant le journal télévisé et un article sur la crise Grèce. Debriefing de l’actualité et partage des visions. L’angle de vision qu’il me donne m’interpelle. Son attitude humble aussi : « Va vérifier ce que je viens de te dire, fais toi une opinion par toi même » Il me donne des références diverses dont l’UPR, son parti (sans me dire que c’en est un, car comme tout le monde, la politique et moi, ça fait deux …).
- Je vérifie, croise les informations, me renseigne et décide de me mettre en action (dire que je n’avais rien vue avant ! ). Je finis par le rejoindre au sein de l’UPR pour agir, et je finis sur la liste de David APADOO au régional, où j’apprends à connaître le parti, les hommes, et une campagne électorale : le terrain, la rencontre avec la population, leurs idées, la gestion des équipes, de la communication. Grosse phase d’apprentissage. Ce parti (peut être les autres aussi…) dispose d’un fond documentaire et conférences, très bien construit, à la manière de bureau d’étude, avec des analyses méthodiques, en citant les références. J’aime le travail bien fait, les raisonnements profonds analytiques, cohérents. Il sait le faire.
- Les élections régionales se terminent, les fêtes, les vacances. Nous sommes éliminés au premier tour. Je vois l’initiative DEMORUN qui m’interpelle positivement …
- La reprise : j’insiste pour que nous continuons le travail de terrain et le reste : je suis persuadé qu’il y a du travail, des actions à mener. Et j’ai aussi besoin de précisions sur le contenu. Mais je ne sens plus la dynamique d’action. Le parti s’endort. Où se tourne vers d’autres actions (signature des élus …), peu en accord avec mes attentes. Et j’apprends aussi qu’en tant que parti politique, on ne peut pas travailler, discuter, échanger avec les autres partis, même sur nos points communs !
- Concernant le contenu : à la question posée aux Instantes dirigeantes nationales : » Quelle est votre position claire, concernant l’Europe ? Ok pour les défauts de l’Union Européenne, (Ensemble d’instances dirigeantes et de procédures actuelles, peu démocratique, indépendante des pouvoirs politiques, qui représentent le peuple), Mais l’Europe, l’idée d’Europe, l’Europe sociale, celle que les populations veulent ?
- Je suis pro Européen, à la Jean MONNET. J’aimerais pour l’avenir, une Europe unie comprenant des pays souverains (qui se fédèrent), où les populations se sentiraient pleinement responsable de leurs adhésions, et de la politique menée, car venant d’eux, par choix … et je n’ai pas de réponse de la section nationale … Je suis frustré. Et la communication du parti parfois peut prêter à confusion, faire penser qu’il n’aime pas l’Europe, juste par principe …
- Je fais aussi l’expérience du clivage politique : impossible de fédérer, de rassembler malgré les points communs; Chacun ramène la couverture à soi et la déchire (ce qui compte semble être les différences qui sont cultivées), ne restant pour chacun qu’un petit bout de couverture, alors que les points communs mettraient en évidence toutes les ressemblances, au sein d’une grande couverture, majoritaire au niveau des urnes, qui pourraient influer la société, et cette réflexion commune amènerait un programme des plus justes, des plus représentatives de la population et de leurs volontés. Mais il est utopique de penser rassemblement dans la configuration et mentalité actuelle des partis politiques (quel qu’il soit). C’est le fonctionnement même de la politique en France (et peut être ailleurs), qui interdit toute réflexion et avancée pour la société.
- QUEL CONSTAT D’ECHECS !!! Je m’exclus de l’UPR et des partis politiques en général. Cette démarche, dans un parti politique conventionnel, ne peut aboutir à une amélioration de la société, j’en suis persuadé. Mais je n’arrête pas le terrain … et je découvre laprimaire.org, peu de temps après. L’espoir renaît, l’aventure continue ici …
Citation préférée :
« Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que les individus se comportent toujours comme les contraintes dans lesquels ils sont plongés, les conduisent à se comporter et pas autrement » Frédéric LORDON, Ursull 2000 sur you tube
Je suis d’accord avec cette maxime. Aussi mon projet est d’amener la modification des contraintes ( par les institutions), afin de dé-serrer l’étau dans lequel est pris la majorité des français :
Exemple : Si l’on veut que tout le monde mange du bio, L’État ne demande pas à chacun de faire l’effort de produire et d’acheter bio, mais met en place des mesures, d’encouragements ou de restrictions, et des structures, qui feront que demain, tout le monde aura accès au bio (en volume produit et en efficacité de réseaux de distribution). Et tout le monde mangera bio !